Une femme, mère de famille passe un agréable séjour dans une pension du sud de la France lorsque la famille fait connaissance d'un charmant jeune homme. Après avoir passé seulement quelques heures avec lui, cette femme rangée va s'enfuir et quitter mari et enfant sans un mot d'explication... Cet attitude provoque la polémique et l'indignation dans la petite communauté. Le narrateur décide de prendre partie de la femme mariée en défendant qu'une passion soudaine peut conduire à agir de la sorte tandis que les autres restent persuadés qu'il s'agit d'un acte prémédité et qu'ils se connaissaient déjà avant... Le narrateur trouve un soutien inattendu de la part d'une vielle femme anglaise qui va lui raconter comment en l'espace de 24 heures, elle a elle même perdu la tête il y a de cela des années en allant à l'encontre de la moralité et des convenances de l'époque.
Si Stefan Zweig n'a pas son pareil pour décrire les sentiments, j'ai moins été séduite par ce roman que par le joueur d'échec, on y trouve pas la même puissance dans le récit.
Zweig reprend la même construction avec cette nouvelle que celle du joueur d'échec, un événement va conduire une personne à se confier au narrateur sur une histoire très personnelle, jouant en quelque sorte le rôle de psychanalyste En effet, l'influence de freud est présente dans les romans De Zweig d'autant qu'il est son contemporain.
Pour autant si j'ai été captivé par ma précédente lecture, ce récit m'a quant à lui passablement ennuyé par la profusion de détail et de précision. Je trouve que Zweig se perd dans des descriptions interminables, notamment le passage au casino avec et cela nuit à la fluidité du récit.
C'est donc un sentiment plus mitigé que j'ai ressenti à la lecture de cet nouvelle même si le récit sonne juste, cela ne m'a pas pour autant convaincu...
Je participe avec cette lecture au Challenge Stefan Zweig organisé par Metaphore
Si Stefan Zweig n'a pas son pareil pour décrire les sentiments, j'ai moins été séduite par ce roman que par le joueur d'échec, on y trouve pas la même puissance dans le récit.
Zweig reprend la même construction avec cette nouvelle que celle du joueur d'échec, un événement va conduire une personne à se confier au narrateur sur une histoire très personnelle, jouant en quelque sorte le rôle de psychanalyste En effet, l'influence de freud est présente dans les romans De Zweig d'autant qu'il est son contemporain.
Pour autant si j'ai été captivé par ma précédente lecture, ce récit m'a quant à lui passablement ennuyé par la profusion de détail et de précision. Je trouve que Zweig se perd dans des descriptions interminables, notamment le passage au casino avec et cela nuit à la fluidité du récit.
C'est donc un sentiment plus mitigé que j'ai ressenti à la lecture de cet nouvelle même si le récit sonne juste, cela ne m'a pas pour autant convaincu...
Je participe avec cette lecture au Challenge Stefan Zweig organisé par Metaphore
je l'avais bien aimé celui-ci, j'en garde un bon souvenir.
RépondreSupprimeril me semblait également l'avoir aimé aussi mais cette relecture ne m'a pas convaincu
SupprimerAh tu vois, moi il m'avait plu. Bon effectivement maintenant tout ceci n'est plus accablant, une femme vit ce qu'elle veut mais à l’époque!!!
RépondreSupprimerLes descriptions ne m'ont pas ennuyées et pourtant je ne suis pas fan d'habitude. J’espère que le prochain sera mieux ;)
il m'avait plus aussi lors de ma première lecture alors que cette relecture m'a paru plus poussive, mais cela ne m’empêchera de poursuivre ma découverte de cet grand auteur
SupprimerJ'ai adoré ce texte, je me suis reconnue dedans c'est peut-être pour cela. LE casino et moi....
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