Hector et Aisha ont invité leurs amis et leur parent à un barbecue. Ce qui devait être un moment agréable entre amis va prendre une tournure quasi dramatique lorsque Harry, le cousin d'Hector gifle Hugo, le fils de Rosie, la meilleure amie d'Aisha...
A travers le prisme de huit personnages, on découvre les conséquences de cette gifle sur leur vie et l'interprétation qu'ils font de cet événement. S'ils s'accordent tous à dire que Harry n'aurait pas dû gifler le jeune Hugo, certains sont plus indulgents et pensent que ses parents en font trop en portant plainte et en traînant Harry devant les tribunaux. Tandis que d'autres sont bien plus intransigeant et pensent qu'Harry mérite d'être condamner, ou tout au moins banni de leur cercle d'amis.
L'auteur à travers cet événement nous dépeint une société australienne en perte de repère où la jeunesse prend de la cocaïne comme d'autre dans leur temps allumaient une cigarette, une société où le racisme fait rage et provient de tout bord y compris d'immigrer grecs mieux intégrer, une société individualiste où se confronte des éducations dite plus nature (écoute de l'enfant, allaitement long, ...)et celles plus strictes où la réussite sociale c'est à dire le montant du compte en banque est la seule unité de valeur pour appréhender et estimer autrui, une société où l'intégration est encore un échec cuisant...
Bien évidement cette gifle n'est que le prétexte à la confrontation des sentiments, à la mise en exergue des vielles rancunes, des non dits, de vieux ressentiments et à l'éclatement de la haine.
L'auteur nous plonge dans l'intimité des ses personnages avec leurs pensées les plus inavouables, rien ne nous est épargné, les sentiments sont étalés sans pudeur aucune et même avec une violence certaine qui peut choquer.
Ce portrait de nos civilisations en perte totale de repère, où nos enfants sont élevés par des écrans, où pour les adultes, il n'est question que de sexe, tromperie, argent, et drogue et où les anciens se demandent ce qui a pu conduire leur enfant à en arriver là "des monstres, nous avons engendré des monstres ". Et cette société australienne qui ressemble à s'y méprendre à notre vieille Europe, il en dresse un portait acide, plein d' ironie, sans concession aucune, et surtout avec aucun espoir d'un monde meilleur.
J'ai, cela s'est sans doute ressenti, dévoré ce livre malgré ses excès verbaux ou romanesques, malgré certains raccourcis faciles et un peu caricaturaux un premier roman qui mérite amplement le succès qu'il a obtenu.
Vous pouvez également découvrir cette histoire à travers la mini série inspirée de ce livre sur Arte, j'ai regardé les deux premiers épisodes, et ce n'est pas trop mal même si je trouve que le récit est plus mélodramatique.
Ce livre me permet de participer au challenge Pavé de l'été organisé par Brize.
L'auteur à travers cet événement nous dépeint une société australienne en perte de repère où la jeunesse prend de la cocaïne comme d'autre dans leur temps allumaient une cigarette, une société où le racisme fait rage et provient de tout bord y compris d'immigrer grecs mieux intégrer, une société individualiste où se confronte des éducations dite plus nature (écoute de l'enfant, allaitement long, ...)et celles plus strictes où la réussite sociale c'est à dire le montant du compte en banque est la seule unité de valeur pour appréhender et estimer autrui, une société où l'intégration est encore un échec cuisant...
Bien évidement cette gifle n'est que le prétexte à la confrontation des sentiments, à la mise en exergue des vielles rancunes, des non dits, de vieux ressentiments et à l'éclatement de la haine.
L'auteur nous plonge dans l'intimité des ses personnages avec leurs pensées les plus inavouables, rien ne nous est épargné, les sentiments sont étalés sans pudeur aucune et même avec une violence certaine qui peut choquer.
Ce portrait de nos civilisations en perte totale de repère, où nos enfants sont élevés par des écrans, où pour les adultes, il n'est question que de sexe, tromperie, argent, et drogue et où les anciens se demandent ce qui a pu conduire leur enfant à en arriver là "des monstres, nous avons engendré des monstres ". Et cette société australienne qui ressemble à s'y méprendre à notre vieille Europe, il en dresse un portait acide, plein d' ironie, sans concession aucune, et surtout avec aucun espoir d'un monde meilleur.
J'ai, cela s'est sans doute ressenti, dévoré ce livre malgré ses excès verbaux ou romanesques, malgré certains raccourcis faciles et un peu caricaturaux un premier roman qui mérite amplement le succès qu'il a obtenu.
Vous pouvez également découvrir cette histoire à travers la mini série inspirée de ce livre sur Arte, j'ai regardé les deux premiers épisodes, et ce n'est pas trop mal même si je trouve que le récit est plus mélodramatique.
Ce livre me permet de participer au challenge Pavé de l'été organisé par Brize.
Oui j'avais aimé aussi malgré le récit très cru :)
RépondreSupprimerJe n'avais pas osé me lancer dans ce roman, pas sûre qu'il me conviendrait. J'ai enregistré les premiers épisodes de la série, mais je ne les ai pas encore regardés.
RépondreSupprimerIl est dans ma PAL. Je comptais le lire cet été, mais bon, ce sera pour plus tard.
RépondreSupprimerIl me tente bien!
RépondreSupprimerJe l'ai lu, j'avais bien aimé!
RépondreSupprimerJe lme note. Tu dis que c'est un pavé de combien de pages ?
RépondreSupprimerBonne journée