lundi 24 décembre 2012

A poil(s), Michaël Escoffier et Kris Di Giacomo





Un lion qui avait trop chaud décide de se déshabiller mais un zèbre qui passait par là décide de lui piquer son habit... Un livre très drôle, une chute inattendue qui plaira aux parents... Des dessins très bien fait, un décor sans fioriture... Un bel album...

J'aime cette histoire rien que pour entendre mon petit de 2 ans me réclamer "A poils" et me bidonner... 


Voici mon dixième billet dans le cadre du challenge Je lis aussi des albums organisé par Hérisson. J'ai donc atteint mon objectif à quelques jours de l'échéance...



Si je fais un bilan de ce challenge, je dois dire que ces billets sont peu commentés mais il est vrai que je parle sur ce blog, principalement de roman pour adulte. Pourtant, je prends un réel plaisir à lire et donc découvrir des albums pour mes enfants. C'est assez nouveau pour moi, je ne m'étais pas intéressé à ce genre littéraire jusqu'à ce que j'ai mes affreux. Et j'ai découvert tout un univers où la création, l'imagination et surtout le talent foisonnent. Si pour le moment je n'ai exploré que les albums jeunesses pour un public ne sachant pas encore lire, je sais grâce à des blogueurs de talent comme hérisson, enna ou encore la mare aux mots, que le reste de la littérature jeunesse ou pour ado est tout aussi intéressante. Je poursuivrais donc mes explorations en même temps que mes affreux grandiront.

Je ne saurais qu'encourager les parents, bien évidemment à lire des histoires à leurs enfants, mais aussi à ne pas se contenter des séries à succès, qui ont certes leurs qualités et plaisent incontestablement aux enfants mais qui sont très formatés et stéréotypés. La littérature jeunesse s'est tellement d'autres choses, on y découvre l'humour, le second degré  tout les thèmes sont abordés avec justesse, les dessins sont sublimes, l'imagination des auteurs et illustrateurs jeunesses est sans limite pour le plus grands plaisirs des enfants mais aussi des parents...

Je ne sais pas si j'arriverai à transmettre ma passion pour la lecture à mes enfants, je le souhaite de tout coeur, mais quand je vois mon fils aîné partir au toilette avec un livre (alors qu'il ne sait pas lire...) j'ai du mal à cacher ma satisfaction...


Joyeux Noël!


samedi 22 décembre 2012

C'est l'histoire d'un éléphant, A. de Lestrade et G.Plantevin


C'est l'histoire d'un éléphant qui n'était pas content parce qu'il a mal dormi à cause d'une chauve souris qui a fait "crunch crunch" toute la nuit, pile au dessus de son lit. 






C'est également l'histoire d'un singe, d'un serpent, d'une famille souris... 


C'est une histoire où le plus fort s'en prend au plus faible, mais ce n'est pas toujours avec le succès escompté.
C'est une histoire en cascade avec une chute très rigolote.
C'est une histoire que mon fils connaît par coeur et dont il récite la litanie à son petit frère qui rigole à s'en faire mal au ventre.
C'est une histoire avec de très belles illustrations, pleines de couleurs et des personnages très expressif.



C'est une jolie histoire, très drôle.
C'est une histoire qu'il faut raconter encore et encore à ses enfants.

Il s'agit de ma 9e participation dans le cadre du challenge je lis aussi des albums organisé par hérisson : 


jeudi 20 décembre 2012

Téléphone rose, Richard Bausch

Je suis bien incapable de dire pourquoi j'ai acheté ce recueil de 3 nouvelles, moi qui n'aime pas trop ce genre littéraire et je ne connaissais même pas l'auteur...

Peut être le prix 1,30€ d’occasion  je prenais pas beaucoup de risque, le titre peut être, l'envie de lire quelque chose de court, la 4e de couverture qui promettait humour et légèreté... Le hasard en tout cas m'a permis de découvrir un nouvel auteur.

Les trois nouvelles sont assez différentes.

Téléphone rose nous relate la conversation entre un client et une jeune femme, Marilyn, ayant pour travail de donner aux hommes du plaisir au téléphone. La conversation ne va pas prendre une tournure habituelle, l'homme veut la découvrir mieux avant d'avoir une relation sexuelle et cela va grandement déconcerter Marilyn. 

La femme du pompier nous raconte le désœuvrement de l'épouse d'un pompier immature, qui s'interroge sur l'avenir de leur relation. 

Enfin, l'homme qui a connu Bella Star raconte la rencontre improbable entre un ex militaire sortant de prison et une jeune fille mystérieuse, et un road movie qui va rapidement tourner au tragique...

J'ai aimé ces nouvelles mais elles ont le défaut qui est inhérent à mon goût à ce genre littéraire, un goût de trop peu, d’inachevé. Les thèmes sont originaux et bien abordés, le style est très fluide.


Ces nouvelles m'ont données envie de découvrir les autres écrits de Richard Bausch.

Je poursuit également ma participation au Défi Cent Pages.
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mardi 18 décembre 2012

Un Tag livresque...

Merci à Philisine Cave pour avoir pensé à moi pour ce tag, le premier de ce blog...
livres © Fotolia.com - © Sashkin - Fotolia.com

1) Es-tu une acheteuse compulsive de livres ? Oui, bien que j'essaie de calmer mes ardeurs mais cela me remonte tellement le moral d'acheter des livres que je cède facilement à cette pulsion.
2) À quelle fréquence achètes-tu tes livres ? C'est très variable, et maintenant que j'habite à la campagne, lorsque j'ai l'occason d'aller à lyon.
3) As-tu une librairie favorite ? J'appréciais beaucoup ma librairie de quartier : La voie aux chapitres mais je ne m'y rend plus car nous avons déménagé, j'aimais aussi beaucoup la librairie jeunesse : Les loupiots.
4) Fais-tu tes achats livresques seule ou accompagnée ? Quasiment toujours seule, j'aime flâner dans les rayons, traîner, je suis dans ma bulle et cela n'est vraiment pas agréable de faire cette activité en ma compagnie.
5) Librairie ou achats sur le net ? Librairie d'occasion la plus part du temps, mais aussi des vides greniers et très rarement sur le net.
6) Vers quels types de livres te tournes-tu en premier ? Les romans et les livres jeunesses pour mes affreux.
7) Préfères-tu les livres d’occasion, neufs, ou les deux ? les livres d’occasion pour une question de budget.
8) Qu’aimes-tu dans le shopping livresque ? le plaisir qui m'attend de découvrir de nouveaux livres.
9) Te fixes-tu une limite d’achats par mois ? Non, pas vraiment, j'essaie d'être raisonnable.
10) À combien s’élève ta wish-list ? Sûrement une centaine de livres, mais j'ai des listes de partout donc c'est assez difficile à évaluer.
11) Cite trois livres que tu veux TOUT DE SUITE ! Je reviens de la librairie donc pour le moment mes désirs sont satisfaits. Et puis, j'ai rarement des envies impératives, je sais être patiente.
12) Précommandes-tu tes livres ? Je n'ai jamais pré-commandé de livre.
13) Pourquoi un tel pseudo/nom de blog ? Pour l'url du blog PS sont mes initiales (nom/prénom) et pour le nom du blog c'est un peu par hasard je n'en suis pas particulièrement satisfaite mais lorsque j'ai crée le blog je n'avais pas réfléchi au nom que j'allais lui donner et c'est le premier qui m'est venu à l'esprit.
14) Parle-nous de ton prof préféré. Un professeur de droit en maîtrise : lors de son dernier cours avant noël, il nous a dit d'oublier un peu le droit, et nous a lu un extrait de Belle du Seigneur, il m'a donné envi de lire ce chef d'oeuvre, qui est devenu mon livre préféré.
15) Quel est ton endroit préféré au monde ? La Torche à Plomeur, finistère sud lorsque le vent souffle fort, c'est toute mon enfance...
16) Parle-nous de ton premier concert ! Je crois qu'il doit s'agir de la compagnie créole lorsque j'avais 8/10 ans, on ne m'avait sûrement pas demandé mon avis...
17) Un endroit que tu aimerais visiter ? L'Afrique du Sud.
18) Parle-nous de quelque chose qui te rend complètement folle en ce moment ! Ne pas trouver de job. 
19) Si tu pouvais posséder instantanément quelque chose, rien qu’en claquant des doigts, ce serait quoi ? Un travail.
20) Qui tagues-tu ? Personne en particulier, mais si quelqu'un est intéressé... bien que ce tag tourne déjà beaucoup sur la blogosphère.

vendredi 14 décembre 2012

Pas mieux, Arnaud Le Guilcher

Pas mieux, c'est la suite des aventures déjantées du héros de En moins bien. Nous l'avions laissé de retour dans son bled avec son ami Richard et le patron du bar Daruis, après la chute de la colline de Sandpiper. On retrouve tous ce petit monde 15 ans après, le soir de Noël, Emma revient avec son fils Commemoi. Bien évidemment ce retour va bouleverser la vie minable de ce looser magnifique. 

Son fils, un gothique boutonneux en pleine crise d'adolescence, l'ignore, sa femme est toujours aussi mystérieuse, et ses finances sont au plus mal avec le retour de la famille prodigue. Ses aventures, et son besoin urgent de fric, vont l'emmener jusqu'à New York dans un superbe loft, en passant par Graceland, le tout en porche cayenne à la rencontre d'individu aussi déconnecté et bizarre que lui, dans une Amérique où Sarah Palin a été élu à la présidence suite au scandale des coucheries de Barack Obama avec une certaine Lady Gaga...

Arnaud Le Guilcher réussit parfaitement cette suite avec ce héros pathétique qu'il entraîne dans un road movie où il va évidemment faire des rencontres improbables. Il nous raconte un monde plein de désillusion, complètement désenchanté avec son humour noir tout en jeu de mot qui fonctionne parfaitement. 

Les situations sont ubuesques, rien n'est crédible, il en fait trop, les dialogues sont surréalistes, et pourtant ça marche, c'est drôle et décalé. On retrouve avec plaisir cette petite bande, et on découvre avec bonheur les nouveaux arrivants. Ces personnages si peu conventionnels sont attachants, et on veut absolument découvrir ce qui va bien pouvoir encore leur tomber sur la tête. 

L'écriture d'Arnaud Le Guilchier est jouissive, hilarante bien que grossière. Je ne peux que vous conseillé de lire cette suite, quant à moi j'espère bien que l'auteur va nous permettre de retrouver une nouvelle fois les aventures de son héros... 


mercredi 12 décembre 2012

Challenge Petit Bac 2013


pett bac 2013Enna propose pour la troisième année son Challenge Petit Bac.
Les règles du jeu sont simples : c'est comme le "vrai Petit Bac"... Enna nous propose 10 catégories (+ un bonus facultatif), à nous de trouver un mot correspondant à chaque rubrique dans un titre de livre. Le mot doit rentrer dans la catégorie sorti de son contexte.  En plus de la ligne classique, j'ai choisi de suivre l'exemple d'Enna et Georges en rajoutant une ligne Agatha Christie.

Voici les catégories et une partie des livres que je compte lire dans la cadre de ce challenge, je ne respecterais peut être pas tout à fait cette liste et certaine catégorie reste à compléter mais cela me donne un cadre.
Prénom : Lolita, Vladimir Nabokov
     Agatha Christie : Le noël d'Hercule Poirot
Lieu :
     Agatha Christie : Mort sur le Nil

Animal : Sa majesté des mouchesWilliam Golding
     Agatha Christie : Une mémoire d'éléphant
Objet : Le Parfum, Patrick Süskind
     Agatha Christie : Le couteau sur la nuque
Couleur : Le Nom de la rose, Umberto Eco
     Agatha Christie : Le train bleu
Partie du corps : Du bout des doigtsWaters Sarah
     Agatha Christie : Mon petit doigt m'a dit
Phénomène météorologique :
     Agatha Christie : La mort dans les nuages
Aliment / Boisson :
     Agatha Christie : Jeux de glaces
Chiffre / Nombre : Cent ans de solitude, Gabriel García Márquez
     Agatha Christie : Les dix petits nègres
Sentiment :
     Agatha Christie : Je ne suis pas coupable
Gros Mot : La conjuration des imbéciles, John Kennedy Toole
     Agatha Christie : Le chat et les pigeons
Le but de ce challenge est donc de finir au moins une ligne de 10 (ou 11) titres d'ici le 31 décembre 2013.

lundi 10 décembre 2012

Une femme, Annie Ernaux

J'avais entendu parler d'Annie Ernaux sur différents blogs, si j'avais noté le nom de l'auteur, je n'avais pas noté de titre en particulier, j'ai donc choisi Une femme , un peu au hasard, un peu aussi puisque le thème du livre me touche particulièrement... 

Annie Ernaux nous parle de sa mère, de sa mort, moment où elle commence à écrire son histoire : "Ma mère est morte le lundi 7 avril".

Ce livre est très intimiste, l'auteur nous parle de sa famille, de ses origines et plus précisément de sa mère. Cette femme modeste qui a tout mis en oeuvre pour améliorer sa condition et celle de sa fille jusqu'à creuser une telle distance entre elle deux, qu'elles ont du mal à se comprendre.

Le style est très épuré, pourtant elle sait parfaitement nous faire ressentir les émotions et surtout la douleur qu'elle ressent face à ce deuil. 

Je ne suis pas toujours très à l'aise avec l'autofiction, comme avec Rien ne s'oppose à la nuit de Delphine de Vigan, mais ce ne fut pas le cas avec ce roman, c'est en toute simplicité et sans voyeurisme qu'Annie Ernaux nous parle de sa mère et sait nous toucher.

Ce livre a su me donner envie de découvrir les autres romans d'Annie Ernaux.

Je poursuit également ma participation au Défi Cent Pages.


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dimanche 9 décembre 2012

Challenge Écrivains japonais 2013





Aladana nous propose de nous emmener à la découverte des auteurs japonais avec son challenge Écrivains japonais 2013. Chaque mois, elle propose de lire un écrivain qu'elle impose, à nous de choisir le roman que l'on veut.












Voici la liste des auteurs et le calendrier :

HIGASHINO Keigo : janvier
MURAKAMI Haruki : février
OGAWA Yōko : mars
DAZAI Osamu : avril
MURAKAMI Ryū : mai
ŌE Kenzaburō : juin
MIYABE Miyuki : juillet
YOSHIMURA Akira : août
MISHIMA Yukio : septembre
KIRINO Natsuo : octobre
KAWAKAMI Hiromi : novembre
LIBRE : décembre. Pour ce dernier mois nous pourrons choisir un écrivain japonais qui ne fait pas partie de cette liste ou lire un autre roman d’un des auteurs ci-dessus que nous aurons particulièrement apprécié.

On peut publier son post à n'importe quel moment du mois et Adalana fera un recap en fin de mois. Tout est expliqué ici.

Quant à moi, je n'ai lu qu'un seul auteur japonnais : MURAKAMI Ryū, et je n'ai dans ma PAL qu'un roman de MURAKAMI Haruki, ce challenge va donc être l'occasion pour faire de nouvelle découverte et un bon prétexte pour de futur achat...

mardi 4 décembre 2012

Le crime de l'orient express, Agatha Christie

Hercule Poirot est rappelé d'urgence à Londres, pour rentrer de  Syrie, il voyage au bord du mythique Orient Express. Bien entendu, un crime est commis au bord du train, le célèbre détective belges va être chargé de l'enquête.

Monsieur Ratchett, un riche homme américain est retrouvé mort après avoir reçu de nombreux coups de couteaux pendant la nuit. Le meurtrier est forcement un passager du train puisque la neige a interrompu le voyage et qu'il se trouve en ras campagne... Hercule Poirot découvre vite la vraie identité de la victime, il s'agit de Cassetti le meurtrier d'une petite fille qu'il avait kidnappée en vue d'obtenir une rançon. Cette affaire avait fait grand bruit 5 ans auparavant d'autant que le meurtrier avait réussi à fuir... 

Personne n'a évidemment rien entendu, ni vu pendant la nuit, pas même Hercule Poirot, voisin de couchette de la victime, les indices étant également bien mince, c'est encore tout le talent et la perspicacité d'Hercule Poirot qui vont permettre de découvrir l'auteur du crime.

Agatha Christie nous mène une fois de plus par le bout du nez, ces personnages sont des menteurs patentés et il faut toute l'intelligence d'un Hercule Poirot pour déjouer leurs duplicités. Et l'intrigue est parfaitement construite, le huit clos tient toute ses promesses : secrets, fausses identités, trahison, mensonges, vengeances...

Je crois que c'est un de mes Agatha Christie préféré, je l'avais lu il y a très (trop) longtemps, mais je ne me souvenais plus de la fin qui est pourtant une des meilleurs du genre.

Je ne peux donc que vous encouragez à lire ou à relire ce livre, vous passerez forcement un merveilleux moment!

J'ai lu ce livre dans le cadre d'une lecture commune organisée par Philisine Cave, son avis et avec la participation de Une Comète.


samedi 1 décembre 2012

La nuit de Valogne, Eric-Emmanuel Schmitt


Par une nuit orageuse, la comtesse de Vaubricourt a invité quatre femmes, ancienne maîtresse délaissé par Don Juan, pour faire son procès. La condamnation sera d'épouser la filleule de la comtesse, alternative à la prison, mais contre toute attente c'est un Don Juan sous des traits vieilli, abattu et fatigué, qui accepte sans difficulté  et sans discussion ce mariage...

Eric Emmanuel Schmitt s'approprie dans ce roman le mythe de Don Juan. Il apporte évidemment son propre regard. 

On dit de Don Juan qu'il n'aime pas les femmes, qu'il est un vil séducteur, mais si ce dernier n'avait jamais en réalité rencontré l'amour? Si cette insatiable et destructrice quête du sexe sans moral ni sans aucun véritable sentiment, n'existait que de ce fait? C'est la théorie que nous présente Eric Emmanuel Schmitt dans cette pièce.

C'est très bien écrit, les dialogues sont excellents et plein d'humour. Je vous conseille de lire cette pièce de théâtre qui m'a donné envie de me pencher plus sérieusement sur ce mythe et notamment de relire le Don Juan de Molière.

J'ai acheté une édition pour les lycéens, et j'ai été surprise que l'éditeur croit nécessaire de donner les définitions des mots ou des expressions tel que libertinage, donner le change ou encore conscience... Franchement le niveau est il si bas? Je suis convaincu que je connaissais le sens des ces mots ou expressions lorsque j'étais au lycée... Mise à part ce détail, j'ai trouvé l'édition très intéressante et très éclairante sur le travail de l'auteur.

Cette pièce me permet de terminer le challenge Eric Emmanuel Schmitt organisé par un chocolat dans mon roman sans que cela ne m'empêche de continuer à lire les autres écrits d'Eric Emmanuel Schmitt et je finis aussi le challenge Défi Cent Pages organisé par La part manquante mais je pense m'inscrire dans la catégorie supérieure : barbe à papa. Elle a été lu durant le challenge STAR 5.


Elle s'inscrit également dans le cadre d'une lecture commune organisé également par un chocolat dans mon roman, vous pouvez retrouver les avis de Un chocolat dans mon roman, NatioraStefieboLightjok, XL, RamettesElahbulle et Rose. Je profite également de cette lecture commune pour remercier un chocolat dans mon roman de m'avoir permis à travers son challenge de découvrir cet auteur que j'apprécie beaucoup aujourd'hui : Eric Emmanuel Schmitt.

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