Ce roman est le sixième opus du cycle de l'invisible, il aborde le thème du confucianisme. Le narrateur, un homme d'affaire européen qui vient souvent en Chine pour ses affaires, a pour habitude et pour stratégie d'interrompre les négociations en vue de déstabiliser ses interlocuteurs. Au cours de ces nombreuses interruptions, il se rend au toilette du grand hôtel où il séjourne, et il commence à discuter avec Madame Ming, la dame pipi...
Celle ci raconte qu'elle a eu 10 enfants, et entreprend de de décrire la vie de chacun d'eux à notre narrateur. Mais celui ci ne peut qu'être surpris par cette affirmation pour le moins improbable : prétendre avoir eu 10 enfants dans cette Chine qui impose la politique de l'enfant unique, ce ne peut être qu'affabulation... Pourtant, le narrateur est attiré par la sagesse et l'humanité de cette femme, pour le moins désarmante et qui sait si bien conter son histoire et percer les secrets de l'âme humaine.
Cela faisait un long moment que je n'avais pas lu un roman d'Eric Emmanuel Schmitt après ma frénésie de l'hiver et du printemps et j'étais assez impatiente de passer un joli moment avec ce court roman. Mais je dois reconnaître que cette fois si le charme n'a pas opéré, je ne me suis pas attachée aux personnages, j'ai trouvé cette histoire sans relief, loin de la poésie qui habite d'habitude les romans d'Eric Emmanuel Schmitt.
Bon, c'est toujours bien écrit, l'histoire est bien ficelée, ça se lit vite, mais ça s'oublie aussi vite, c'est donc pour moi une petite déception, privilégiez plutôt la lecture de Monsieur Ibrahim et les fleurs du coran, l'enfant de Noé ou Oscar et la dame Rose.
Je l'ai lu dans le cadre du challenge EES organisé par un chocolat dans mon roman et le Défi Cent Pages organisé par la Part manquante.
Cela faisait un long moment que je n'avais pas lu un roman d'Eric Emmanuel Schmitt après ma frénésie de l'hiver et du printemps et j'étais assez impatiente de passer un joli moment avec ce court roman. Mais je dois reconnaître que cette fois si le charme n'a pas opéré, je ne me suis pas attachée aux personnages, j'ai trouvé cette histoire sans relief, loin de la poésie qui habite d'habitude les romans d'Eric Emmanuel Schmitt.
Bon, c'est toujours bien écrit, l'histoire est bien ficelée, ça se lit vite, mais ça s'oublie aussi vite, c'est donc pour moi une petite déception, privilégiez plutôt la lecture de Monsieur Ibrahim et les fleurs du coran, l'enfant de Noé ou Oscar et la dame Rose.
Je l'ai lu dans le cadre du challenge EES organisé par un chocolat dans mon roman et le Défi Cent Pages organisé par la Part manquante.
J'étais motivée à lire ce livre et puis je découvre ton avis : bon, je vais quand même essayer de l'emprunter en biblio (sûrement pas l'acheter, au moins une économie faite).
RépondreSupprimerJe n'ai réellement pas été touchée par cette histoire mais j'ai vu beaucoup d'avis positif sur ce livre...
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